Ma rencontre bdsm avec un couple candauliste

Moi c’est Kobra, j’ai fêté mes 40 ans et j’aime le sexe. Bienvenue à moi dans cette histoire. Depuis quelques temps déjà, je suis sexuellement libéré et mon truc du moment penche vers le BDSM. J’ai eu l’envie récemment de me lancer dans une rencontre bdsm histoire de laisser place à mon caractère plutôt dominateur.

La rencontre bdsm parfaite

L’idée de dominer la femme d’un autre était un fantasme. J’ai donc commencé à chercher un couple libertin souhaitant faire l’expérience d’une rencontre échangiste extrême. En quelques clics, je suis tombé sur l’annonce d’un homme de 40 ans à la recherche d’un maître pour dresser et humilier sa femme de 31 ans en sa présence.

C’est exactement ce que je cherchais ; un couple candauliste avec un penchant pour le bdsm. Après quelques échanges, la décision fût prise de se rencontrer. Ils vivaient à 3 heures de route. Je leur ai naturellement proposé de se voir à mi-chemin dans un lieu que je connaissais bien.

Le rendez-vous en terrain connu

Située entre chez-eux et chez moi, une demeure libertine où l’accueil est chaleureux. Une maison d’hôtes libertins où j’avais toujours eu l’envie de louer la chambre du Marquis. J’ai donc réservé directement pour le week-end suivant.

Le rendez-vous avait été pris pour le samedi mais j’avais loué ma chambre dès le vendredi pour en profiter. Ils sont arrivés au gîte libertin à 15h. La femme m’a rejoint la première au bar. Elle était grande, ravissante, distinguée, naturelle, souriante. Elle portait un petit short en cuir, un simple tshirt blanc, de grandes chaussettes et des converses. J’ai adoré le style!

Son mari nous a rejoint un quart d’heure après. Il était grand, imposant et distingué. De suite, il m’a plu. On a discuté tous les 3 pendant un moment. Je repensais aux accessoires Bdsm que j’avais commandé spécialement et toujours à la même adresse. Je souriais. Il était temps que ce plan sm se déroule (et sans accroc).

Une chambre bien équipée pour un plan SM sans équivoque

J’invitai madame à me suivre dans ma chambre. Mon envie de la promener en laisse grandissait. Je lui passais donc un collier à peine franchi le pas de ma porte que je laissais ouverte. J’avais commandé une jolie laisse exprès pour ce moment.

Seulement pour en faire mon esclave sexuel le temps d’une nuit, il en fallait plus. J’avais pris de quoi la bâillonner ainsi qu’une cravache pour mon plus grand plaisir. Une fois bâillonnée, je lui ai bander les yeux.

soumise bdsm

femme soumise

Maintenant que ma soumise était prête, je devais encore la transformer en une vraie petite salope répondant à toutes mes envies. J’ai donc commencé par poser un vibro sur son clito. En jouant avec l’intensité, elle s’est mise à se trémousser de désirs jusqu’à jouir en mouillant le drap.

Une rencontre bdsm pour un plan extrême

Mais cette histoire avec ce couple candauliste ne s’arrête pas là. Afin de faire monter le désir un peu plus, j’ai rajouté des pinces à seins avec lesquelles j’ai commencé à jouer. Elle était sous tension, j’ai sorti le martinet m’assurant que chacune des lanières en cuir effleurent légèrement sa peau.

Elle frissonnait. Il était temps de sortir un gode XXL, d’allumer une bougie et de jouer entre plaisirs et douleur. Voilà comment, en moins de 10 minutes, elle jouissait une deuxième fois, une fois de plus mais pas une dernière fois.

Sodomie sale au programme

Son petit cul m’avait bien excité toute la soirée. J’y glissais un doigt. Sa réaction acta ma décision. Une sodomie sale se préparait. Elle le savait, le voulait et se mettait déjà en position qu’une bonne soumise qu’elle était.

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