Il était 19 heures. La soirée commençait et j’étais toujours assis dans mon bureau à écrire. Le curseur de l’écran clignotait, attentant impatiemment le prochain mot mais rien ne venait.
Le temps passait, seule la musique résonnait quand mon téléphone vibra.
Ma soumise me proposait de boire un verre et de la rejoindre chez elle quand je le souhaitais. Je sentais le fauve et je décidais donc de prendre une douche. En sortant de la salle de bain, je pris mon téléphone pour lui répondre favorablement. J’annonçais triomphalement un : « J’arrive » par texto suivi d’un : « petite chienne ». Elle me répondit dans l’instant par un smiley grand sourire.
Une soirée imprévue à 3 qui dérape
A mon arrivée, je constate que ma soumise n’est pas seule. En effet, sa meilleure amie est là, posée dans le canapé, à son aise et les deux sont déjà bien chaudes.
Les verres sont pleins, l’accueil est chaleureux et la deuxième bouteille ne tarde pas à faire son entrée. Elodie, l’amie de ma soumise retire son soutien-gorge. J’avale une gorgée de vin. Un sourire coquin se pose sur moi. Elodie me regarde, l’excitation me gagne, je ne montre que de la bienveillance.
Ma soumise, déjà libérée d’un soutien peu confortable, porte un chemisier transparent et ouvert sur le haut, laissant ainsi entrevoir sa poitrine.
Devant tant de légèreté, je me décide donc à enlever mon pantalon. Je me lève, m’assurant d’effectuer un pas sur le côté afin de ne pas renverser les verres. La seconde d’après, je défais ma ceinture et déboutonne mon pantalon qui glisse le long de mes cuisses.
Me voila donc en boxer, pieds nus, vêtu d’une chemise cintrée que ma soumise s’empresse de m’enlever pour me caresser les pectoraux. J’invite Elodie à toucher en lui prenant la main et tandis que sa main me caresse, je sens celle de ma soumise à mon entrejambes.
Instinctivement je me contracte. Mon érection est difficile à cacher mais ma soumise a soif. La bouteille et les verres sont vides. Elle se lève et part en cuisine. Je me retrouve seul avec Elodie et la distanciation sociale n’est absolument pas respectée. Sa main droite sur mon torse, sa main gauche sur ma cuisse droite, elle se redresse et me regarde tout en se laissant glisser du coussin sur lequel elle était assise. Je perds ses yeux de vue, mon boxer glisse et je sens sa bouche s’emparer de mon gland qu’elle aspire doucement.
Une fellation peut en cacher une autre
Ma soumise revient et ne peut que constater que sa copine me suce. Elle ouvre alors la bouteille de vin et remplit les trois verres. Une fois cette tâche effectuée, elle repose la bouteille et vient m’embrasser avec fougue. Droite devant ma moi, elle enlève son short. Elodie continue de me sucer sans se soucier d’avoir sa copine nue à côté d’elle. J’embrasse les seins qui me sont offerts et m’assiste de mon bras gauche pour trouver appui sur un cul. Mes doigts s’immiscent dans une fente et ma soumise se met à couiner.
Le temps s’arrête, le jeu commence. Ma soumise veut ma bite. Elle la cherche avec l’une de ses mains et décide de s’accroupir pour la sentir directement au fond de sa gorge. Poussée, Elodie relève la tête et aperçoit enfin ma queue dure et imposante. Elle sourit et me gratifie d’un compliment. Je la serre contre moi, elle soulève son tee-shirt et je me retrouve coller contre sa poitrine.