Depuis quelques mois, je vis dans un nouvel appartement. L’endroit est bien aménagé et les voisins ont tous l’air bienveillants. Entre nous, avec mes horaires décalés, je ne croise pratiquement personne. Voilà une des conséquences de mon métier d’infirmière. En effet, mon travail ne me permet pas de faire des rencontres comme je l’aimerai.
Il y a peu, alors que je rentrai du travail vers 4 heures du matin, l’ascenseur s’arrête au 6è étage. Les portes s’ouvrent et un homme entre. Grand, brun, les yeux verts et un corps parfaitement dessiné malgré une épaisseur de vêtements.
Du sexe dans l’ascenseur en totale apesanteur
Il me demande où je vais. Je lui réponds que je monte alors que lui cherche à descendre. Il appuie sur le bouton du rdc et là, l’ascenseur se bloque. Je pense immédiatement au coup de la panne et je lui souris.
L’espace est restreint, nos corps se frôlent. Je peux sentir son odeur de mâle, son parfum bon marché et l’alcool. Le temps passe. Les minutes ressemblent à des heures. J’engage la conversation et j’apprends qu’il vient de passer la soirée chez mon voisin. Au fur et à mesure, nous nous mettons à parler de nos vies sentimentales. Me voilà presque rassurée car en réalité la sienne n’est guère mieux que la mienne.
Subitement, il m’embrasse. Son baiser est fougueux, plein de passion. Sa langue cherche la mienne. A cet instant, mon string s’humidifie plus rapidement que jamais. Je me sens flottée en totale apesanteur. Il me plaque alors contre le miroir et viens me mordiller les tétons. Mon envie de lui s’accroît et je me laisse porter.
J’aime sa queue au fond de ma gorge
Il revient vers ma bouche tandis que je caresse sa bite par dessus son pantalon. Je l’imagine grosse et dure comme j’aime. Sans aucune hésitation, je me met à bonne hauteur et je fais jaillir sa queue de son boxer. J’avais vu juste. Elle est énorme. Je la prends en bouche et commence à le pomper comme une vraie chienne tout en me caressant le clito.
J’enchaîne les gorges profondes puis je le branle en le léchant de bas en haut. Son gland est gonflé à bloc. Là, il me relève, écarte mon string trempée et dégage ma jambe afin de s’enfoncer en moi. Plaquée, dos au miroir, je ne peux plus bouger. Ma chatte est si humide qu’il me pénètre alors facilement. Je sens sa queue en moi se faufiler. Ses va et vient sont puissants. Le plaisir en moi monte rapidement. Il me secoue si fort que je dois me retenir de gémir.
Puis je sens un doigt glisser dans mon cul. L’idée qu’il puisse me sodomiser dans de telles conditions m’excitent. Après quelques bonnes minutes d’une sodomie réussie, je sens l’orgasme chez moi qui monte. Ma jouissance est intense au point où je ne me rends pas compte qu’il m’a rempli de foutre mon petit cul de salope.
L’instant d’après, l’ascenseur repart. Je remonte mon string et me voilà à mon étage. Je me retourne, il me sourit et cette histoire coquine s’arrête là. Je ne l’ai jamais revu. Par contre, je suis passé voir son cousin au 6è et lui aussi est bien monté.
Salut moi c’est Mary, j’ai 32 ans. J’ai grandi à Londres où je suis née d’une mère anglaise et d’un père français. Aujourd’hui, je vis en France et plus précisément dans le pays basque depuis maintenant 3 ans. Secrétaire dans une agence d’intérim, je suis en couple avec un chéri qui a craquer pour mon accent anglais et avec qui je partage mes fantasmes les plus coquins.